(on pourrait croire que je parle de chevaux… ah si mes traductions étaient des Appaloosa !)
Je me dépêche donc de publier une version française (et remaniée) de mon premier article sur le Street Art, en attendant le prochain véritable article - très bientôt, avec des nouveaux dessins et tout.
Plus nuancés que ce cavalier, disons.
J'ai toujours aimé les superpositions translucides de teintes et de textures, |
les contrastes de matière, |
et les rencontres inattendues. |
Je me demande qui utilise cette porte ? |
Parfois, même dans une ruelle, la peinture imite la nature.
Vue du ciel
Ou de près
Quatre Barbapapas vert printemps, qui dansent pour célébrer la pluie. |
Jeux de graminées emmêlées par le vent |
Visiblement cet hidalgo n'est pas très intéressé par sa partenaire. Il regarde à la fois par terre et derrière elle. |
J'ai une tendresse particulière pour ces deux-là...
Il y a de l'orage dans l'air, des éclairs moelleux, beaucoup de légèreté.
Et des gouttes de pluie mauves.
À part les personnages, qui ornent une façade et une porte de la rue Rachel,
toutes ces photos ont été prises samedi dernier, dans une ruelle, entre Rachel et Marie-Anne (deux rues qui ont des noms de femme, vous l'aurez noté).
Et vous ? Est-ce que le Street Art vous fait parfois des clins d'oeil ? Avez-vous déjà essayé de le surprendre de près, de côté, là où le soleil lui donne des reflets joyeux ?
ou nacrés ?
décidément nos regards photographiques s'entrecroisent...
RépondreSupprimerj'aime cette idée que tant de gens passent dans la rue à côté d'objets ou de choses sans les remarquer... et nous avons, nous, ce pas de décalage, cette légère prise de distance et cette attention accrue qui nous les rendent visibles...
merci une fois encore de partager ça.
Oui, j'ai vraiment pensé à toi en découvrant certaines de ces photos sur l'écran de mon ordinateur ! C'est souvent une surprise, parce que même de tout près, on ne peut pas isoler un détail du regard de cette façon, ni appréhender la texture avec précision.
SupprimerCe pas de décalage, est-ce vraiment une prise de distance ? Ou plutôt une tendresse instinctive pour la matière et la couleur, qui nous permet de voir (du coin de l'oeil) des accords et des motifs, un peu n'importe où ?
:o)
xx